samedi 4 février 2017

Article #2

 

NOS JEUNES DE NOS JOURS  (MOI Y COMPRISE) 

  • Sara Boutalib. | 18.02.2017. 
 
 
   
Depuis déjà plusieurs années,  plusieurs individus (moi y comprise) avons dû remarqué qu'à travers les générations, des changements ont pris place sur la cour de l'école. Ce qu'autrefois était considéré « beau et admirable » est aujourd'hui humilié et traité de salop(pe), ou – en bon franglais – slut-shamer. C'est pourquoi ce deuxième article s'intitulera « Nos jeunes de nos jours ». Voyez le un peu comme si je vous faisais visiter l'école avec les yeux de votre enfant (il y a des exceptions et ceci est basé sur mon expérience personnelle).  
Donc, après mûre réflexion, je crois qu'il serait assez normal de dire que de nos jours, nous jugeons beaucoup tout ce qui autour de nous. Il me semblait assez compliquer de trouver ce qui ne va pas, mais (bien sûre), en toute logique, une chose qui a vraiment eu un impact dans notre société à travers la dernière décennie est nul autre que...
L'Internet. 
Tout les réseaux sociaux; Facebook, Twitter, Instagram, Snapchat, Flick, Vine, Tumblr, iCloud, iMessage, Vimeo, etc,... Ils sont tous la raison du pourquoi nos jeunes de nos jours sont si remplis de jugements
En voyant sur ces sites toutes les publicités d'Apple, Samsong et compagnie disant : « Vous ne voudriez pas rester avec le iPhone 6, je me trompe ? Le nouvel iPhone 7 disponible dans tout vos magasins technologiques du coin ! » sans même spécifier que le sept n'a même pas de trou pour les écouteurs afin d'encourager n'importe quel client qui sait (visiblement) fait à arnaquer à acheter les écouteurs portatif qui – croyez-moi – se briseront d'ici deux à trois mois, comme n'importe quel appareil Apple depuis la mort de Steve Jobs – au cas où, dans le monde le plus bizarre, vous ne sauriez pas c'est qui : cofondateur et Président Directeur Général d'Apple, investisseur considérable et propriétaire en majeur partie de Pixar et fondateur et créateur de NeXT – en 2011. 
D'ailleurs, si vous avez vu le film autobiographique de Steve Jobs paru en mi-2016, vous saurez que Jobs a toujours supporté le fait que non, pas tout le monde a une fortune de 10.2 milliard de dollars américains, et que puisque les gens payaient déjà une petite fortune de cinq-cent à deux-trois mille dollars, euros, livres, dirham, etc,... pour un appareil électronique, il fallait donc donner un produit d'une valeur équitable. Puis puisque, malheureusement, il nous a quitté il y a un peu plus de cinq ans, n'importe quel con qui a prit en charge l'empire a décidé d'arnaquer les gens dans un médiocre but de gagner de l'argent sur les appareils qui se vendent moins bien. 
Bref. (Assez de mes emphases sur comment les sociétés/business de nos jours fonctionnent, bien que cela semble être une idée intéressante d'article.) 
Mon seul interret à rentrer dans cette immense parenthèse est simplement de vous faire comprendre que, de nos jours, les gens sont prêt à tout pour que le cash coule à flop. Donc, quoi de mieux que de rentrer dans la tête de nos enfants que les choses deviennent démodées, qu'on vieillit, qu'il faut avancer dans la technologie et rester à jour, et bla-bla-bla (vous connaissez la chanson..) 
 D'ailleurs, parlant des jeunes de nos jours, j'ai cru que pour que cet article ait vraiment du jus et que nous puissions explorer toutes les façades d'être un-e adolescent-e au 21ème siècle, il serait intéressant d'explorer les différents types de personnes (selon notre génération) au secondaire et/ou lycée
Donc, pour commencer, faisons un petit survole des types clichés, suivis des groupes accompagnant ses gens-là (les étoiles de l'école, disons), puis, finalement, des exceptions et/ou cas plus rares que peu de gens connaissent et/ou prennent en considération dû à la modernité de la chose. Ne vous en faites pas, ça se fera dans le plus grand respect et vous pourrez même facilement vous identifiez ou identifiez un-e ami-e dans ce répertoire. 
Le Bad-Boy (vous deviez vous douter qu'il serait dans la liste lol) : Beau, grand et fort. Toutes les filles veulent être avec lui et tout les gars veulent être comme lui. Il n'est pas nécessairement mauvais à l'époque, mais s'applique peu (à part de rares exceptions). Il se croit everything et n'aime pas une fille en particulier, il veut juste se taper tout le monde. Il joue sûrement du basket, fume un joint de temps à autres, a été le président de sa classe plus d'une fois et a sûrement gagné avec un slogan aussi con que : « Avec Jeremi Sfeir, créons une sphère ensemble ! » Il a sûrement maturé avant tout le monde se qui est la principale raison du pourquoi il est tant admiré. Il aime faire le deep et dira souvent des citations pour semblant philosophe ou whatever quand en vrai, il ne comprend pas 84.3567% de ce qu'il dit. Puisque – comme mentionné plus haut – il joue du basket, il a beaucoup d'amis, s'assoit toujours avec eux à midi et déteste quand une fille vient lui parler quand il est entouré de ces meilleurs potes, même si il adore lui parler en vrai. Il a peur d'être lui-même, ne s'assume sûrement pas et réalisera tard qu'on s'en fout des gens. Il est comptable avec la Mean Queen et il n'accorde pas beaucoup d'importance aux autres filles qui l'aiment et/ou qui veulent juste être ami. Il est assez rebelle, aime faire rire et manque de maturité.  
--> Conseil : Soyez vous même, tout le monde est déjà pris. 
La Mean Queen (ugh) : Belle, grande et prétentieuse. Les intellectuels rêvent à elle la nuit et les autres filles rêvent d'être elle la nuit. Pas nécessairement blonde, elle est assez arrogante et utilise sa beauté afin d'hypnotiser les garçons. Elle rêve d'être famous et vient sûrement d'une famille aisée puisqu'elle a une attitude assez Princesse Bitch. Bien qu'elle soit entourée de gens, elle leur accorde peu d'importance et les appelle ses fans. Elle chiale et pleure pour rien et est aussi fake qu'un batton en plastique (même si je choisirais pareille le batton comparé à elle). Elle aime faire la victime et l'innocente et n'est pas si mauvaise en classe. Elle organise souvent des sorties avec ces fans, qu'elle appelle « amies », et fout toujours des vents aux gens sur internet. Elle croit que tout est possible et est tendance à être hypocrite. Personne ne la blâme et les real la déteste. Elle a contrôle sur le bad-boy et a une forte influence sur qui il aime, qui il n'aime pas, qui il intimide, qui il n'intimide pas, etc,... Elle est généralement celle qui aura sa maturité en dernier, généralement grande, flat et cheveux blonds assez longs. À un certain point, les gars réaliseront qu'ils ne l'aiment pas vraiment et qu'ils aiment seulement l'idée d'elle quand ils découvriront leur grand amour. Elle est clichée, hautaine et manque définitivement de rationalité. 
--> Conseil : Il faudra un jour arrêter de confondre ce qui se vend à ce qui est bien. 
Le/la Nerd (moi, moi, moi) : Mignonne, étrange, intelligente et assez différente, cette personne est généralement assez ouverte d'esprits, rêve de devenir politicienne, avocate, journaliste, écrivaine, médecin (et toutes les filières qui viennent avec), ingénieur, professeur ou docteur dans un sujet en participer (par exemple, les mathématiques). Elle n'est pas nécessairement première de classe (bien que ça soit fort probable – comme moi), car ce genre de personne-là a tendance à sortir des sentiers battus, mais s'en sort assez bien. Dans le fond, cette personne lit beaucoup et aime apprendre. Ses rêves se basent surtout sur être reconnu pour sa juste valeur et, finalement, être aimé du reste de l'école. Ils peuvent s'associer aux loosers, mais ne sont que compatibles avec eux. Très étonnamment, ils sont surtout compatibles avec les bad-boy (quand ils s'assumeront afin parce que les opposés s'attirent) et avec les autres nerds (parce que ce qui se ressemble, s'assemble). Ces personnes sortent de l'ordinaire, font des blagues plates et sont souvent jugées par leur extérieur, les gens ne prenant même pas la peine de voir de ce qu'il en est de l'intérieur ! 
--> Conseil : Les gens changent, des choses arrivent et la vie continue
Le/la DUFF (aussi moi) : Si vous n'avez pas vu le film, DUFF veut dire, en anglais, « Desperate Ugly Fat Friend », soit « ami-e désespéré-e, moche et gros-se ». En français – bien que je trouve la description largement moins représentative et méchante qu'en anglais – l'équipe de traduction du film en a compris « Dodue Utile Franchement Fade ». En gros, c'est la troisième roue d'une bicyclette, l'extra, le rejet. Dans le film américain DUFF, ils en donnent l'exemple d'une personne qui aide ses ami-e-s – beaucoup plus beaux – à draguer. Ainsi, il – par exemple, mais ça peut très bien être elle – se présente à la Maddison du lycée (qui est une Mean Queen, bien évidemment). Elle lui pose des questions sur Derek (le Bad-Boy, duh) et son ami (le DUFF) à le privilège de parler et d'admirer Maddison. Il met ainsi Derek en valeur, puisque lui est laid et que Derek remplit les standards de la société, étant jugé comme très « bien beau ». Du coup, quand Derek se pointe et commence à lui parler, il a l'aire du héro. Stupide, je sais. 
--> Conseil : Soyez vous-même, tout le monde est déjà pris. 
Certe, je pourrais continuer à en nommer pleins d'autres, des milliards même. Mais je ne veux pas m'attarder pour toujours sur le même sujet et j'aimerai en donner la morale (ce qui est un peu le but de cette article, bien qu'il soit au court, avec le secondaire et tout, ça m'a pris deux semaines à rédiger). 
Dans le fond, pourquoi donner toutes ses étiquettes aux gens ? Pourquoi faut-il nécessairement qu'on soit tous les mêmes ? Un jour, un garçon m'a dit « Non, mais t'es qui ? », afin de m'insulter car je suis « bizarre ». Certe, ma réalité est différente de la vôtre, je le comprends, mais cela ne fait pas de moi une extraterrestre. Au contraire. Le fait que je cherche ma propre voix, ma propre opinion, mes propres sentiments, ma propre direction, mon propre chemin fait de moi quelqu'un de très humain. 
Dear me, 
Being lonely doesn't mean having nobody next to you. 
It means feeling sad at night, 
Realizing you can't talk to anyone without having this constant fear. 
You aren't weird. You are special. 
That's what disturbs them.  
You are surrounded by a sea of people, 
Yet you still feel the same. 
You may feel like you don't belong with them, here, 
Or with anyone, anywhere for that matter. 
You may not be aware of this, 
But you are complicated, 
Weird, 
Messy, 
Nerdy, 
Smart
And wonderful. 
It's not bad. 
You are as you should be. 
You are who you want to be. 
Someday, someone will come into your life. 
Change everything. 
Raise the standards
And make you feel like you. 
There will be something about him.
Maybe the way he promises he'll build you up ? 
I can't even put this into words, 
But he'll never stop, 
So even though you're not with him, 
Don't let him go. 
You may feel alone, 
But you're not. 
You write, live, laugh and love everyone and everything. 
That's a miracle. 
You are a miracle. 
—Sara, ta seule amie. ❤️
Tout droits réservés® : Pas d'attribution commercial📴 - Pas de modification📳. Droits d'auteur, sauf pour les images📵. Sara Boutalib™ Copyright 2017©. 

samedi 28 janvier 2017

Article #1

POURQUOI LE TAG

 « ALL LIVES MATTER » 

EST CONSIDÉRÉ DÉNIGRANT

  • De Sara Boutalib. | 28.01.2017. 
Mon problème avec le tag « All Lives Matter », de l'anglais « Toutes vies importent » est que oui, bien qu'à la base toutes les vies importent et oui, c'est important d'être égaux (et je comprends que c'est ça que peu-importe-qui-a-commencé-ça a tenté de faire ressortir), mais en ce moment, nous sommes concentrés sur celles des noirs. Alors si vous ne comprenez pas pourquoi ce tag overshadow le tag « Black Lives Matter », soit « La vie des noirs importent [aussi] » mais que vous êtes ouvert à une opinion différente, continuez. Sinon, vous faites partie du problème et sachez, que je suis prête à un argument dans les commentaires. 
       
No Justice. No Peace.
Une manifestation pour le mouvement #BlackLivesMatter.
       
Si vous n'êtes pas au courant (ce qui serait très surprenant) de ce qui se passe. Basez sur une petite recherche internet  (source sûre, bien évidemment) qui s'intitulait : « Police brutality toward African-American », soit « La brutalité des policiers envers les Africo-Américains », je tenterai de vous résumez les moments clés. 
 
 
 
Trayvon Martin, un jeune homme désarmé de dix-sept ans, étudient au lycée de Miami Gardens, en Floride, fut tué le 26 février 2012 part le capitaine de garde du coin, George Zimmerman. Zimmerman a appelé le 911 (le numéro de la police – pour ceux d'entre vous qui ne sont pas Nord-Américains) pour signaler une personne suspecte qui rodait dans le voisinage, ce qui est par pur racisme puisque Martin était simplement noir. Le « génie » s'est dit que puisqu'un homme noir marchait dans les rues, portant un kangourou, il devrait automatiquement être classifié comme étant « louche ». Lors du rapport que Zimmerman avait fait en appelant la police, ces derniers lui avaient ordonné de ne pas approcher le garçon et même, de quitter son véhicule. Mais bien sûre, puisque Zimmerman est un « génie », il s'est dit qu'il devait prendre les choses en main et a donc suivi Martin jusqu'à son véhicule, ce dernier se ramassant à lui tirer dessus et le tuer. Zimmerman a ouvertement admis l'avoir tué, mais assure que c'était de l'auto-défense. Bien sûre, tout ce que tu dis mon grand! Sinon, les parents de Trayvon ont demandé justice, mais la cour a décliné, déclarant que Zimmerman était innocent en juillet 2013.  
 
 
 
(Je me rappelle de celui là, j'étais à Cuba quand les nouvelles sont passées.) Michael Brown, un jeune homme ne portant pas d'armes de dix-huit ans fut tué par un policier, Darren Wilson, le 9 août 2014 à Ferguson, au Missouri. Apparemment, Brown et un de ces amis, Dorian Johnson, quittaient le marché (ou, à ce que j'ai compris, plus comme une sorte de dépanneur qui vendit de l'alcool) de Ferguson. La caméra de surveillance filmait Brown entrain de voler un paquet de cigarettes. Le vendeur a appelé et quand Wilson est arrivé, il a vu que Michael ressemblait aux critères descriptifs que le vendeur lui avait donné et décida qu'il était temps « d'agir ». Wilson lui a injustement tiré dessus, atteignant son dos – selon les reporteurs, alors qu'il avait levé ces mains en l'air. Les agents de police ont écrit un rapport, disant que Wilson s'était « défendu » et que Brown avait apparemment un pistolet, l'agent affirmant avoir crié « Hands up, don't shoot! », soit « Les mains en l'air, ne tirez pas! », ce qui était évidemment un mensonge puisque Brown a levé ces mains en l'air et c'est tout de même fait tiré dessus. Apparemment, Brown aurait même crié la phrase « I don't have a gun, stop shooting! », mais l'homme en question est mort et le policier n'a pas été arrêté (je ne suis pas sûre de cette information, mais il me semble que non). La morale est que Wilson a injustement pensé que Brown était un criminel basé sur la couleur de sa peau. 
 
 
 
(J'ai mis cette affaire en dernier, car selon moi, c'est la plus tragique et la plus dégueulasse de toutes.) Éric Gardner, un pas-si-vieil homme de quarante-trois ans, père marié de six enfants dont il eut deux petits-enfants venant de Staten Island, à New York fut étranglé jusqu'à en mourir le 17 juillet 2014 par un agent de police du NYDP qui resta dans l'anonymat. Apparemment, Gardner – qui pesait quatre-cent livres et qui était asthmatique – fut étranglé, sa tête collée contre le trottoir en face d'un salon d'effets de beauté, à Tompkinsville par plusieurs officiers. Gardner a crié à plusieurs reprises « I can't breathe! I can't breathe! », soit « Je ne peux plus respirer! Je ne peux plus respirer! », mais ils continuèrent tout de même leurs petits jeux ce qui mena à Gardner à sembler inconscient quand en vérité, il était déjà mort. 
 
« Les rapports montrent que Gardner allait, de toute façon, être mené en court – vivant ou mort – en octobre de la même année pour possession de drogues diverses et pour le crime de vendre des cigarettes sans charger les taxes. » —Les officiers de police du NYDP. Cette annonce prouve tout simplement qu'ils étaient prêt à dire n'importe quoi pour que la victime en question semble méchante et coupable dans le but de s'innocenter. 
 
 
 
Il y a eu plusieurs affaires plus au moins similaires qui ont soit été prises en considérations, soit complètement ignorées. Par exemple, John Crawford III fut tué au Walmart de Beavercreek, à Ohio le 5 août, Levar Jones – par contre – a survécu suite à une balle tirée par un patrouilleur de la Caroline du Sud le 4 septembre et Tamir Rice, qui avait alors douze ans, fut tué dans un parc de Cleveland le 23 novembre, sa mère et sa sœur ont d'ailleurs prit part de la marche de la justice pour tous. Tout ces hommes ont perdu la vie dans des situations injustes et leurs histoires ont été prises au calme, la communauté noire étant (visiblement) offensée face à ces actions. L'organisation Alternet estime qu'un homme de race noir et tué à toutes les vingt-huit heures; c'est pourquoi le mouvement #BlackLivesMatter a commencé. 
 
 
 
Bon. Maintenant que vous avez eu un bref résumé des cinq dernières années (j'allais écrire quatre, puis je me suis rappelée que l'on était plus en 2016; lol), parlons de pourquoi le tag « All Lives Matter » pose problème. Et bien, je discutais avec une connaissance sur Instagram à ce sujet et nos arguments se basaient surtout sur le fait qu'elle ne comprenait pas pourquoi ce tag était déplacé étant donné que, comme cité plus haut, logiquement toutes les vies importent. De mon côté, j'appuyais surtout le fait que puisque vous ne vous êtes jamais battu pour vos droits civils. Ces tags ont été fait afin de supporter et de soulever une cause en particulier, de rassembler une communauté. Essayer de rentrer dans la petite bulle, de faire parti d'un tag qui ne nous regarde pas car nous n'avons jamais essayé de se battre pour l'avoir. C'est comme si il y a un feu chez toi et qu'en toute logique t'appelle les pompiers. Imagine si ils te répondaient : « Ok, il y a un feu chez toi, mais ta maison est une maison comme toutes les autres maisons de cette rue. » Vous allez probablement répondre « Mais ce n'est pas juste! » 
 
 
 
Et chérie, c'est à ce moment-là qu'on sera d'accord. Ta maison est une vie. Cette vie affronte des problèmes, traversent des obstacles. Mais c'est juste une maison, comme toutes les maisons du coin. Je suis pour que chaque problème soit réglé individuellement. Comme les pompiers. Ils s'occuperont de ta maison en particulier. C'est pareille: tout mérite une attention propre à sa cause. 
 
 
 
En conclusion, j'aimerai terminé mon premier article sur une note assez simple. Le problème ne vient pas des tags (bien qu'il soit important de biens les utiliser). Le problème vient du fait qu'un homme blanc qui viole une petite fille aura quatre mois de prisons et un homme noir qui vole un paquet de cigarettes se fait tuer – est-ce que cela fait du sens pour quelqu'un? (Si oui, j'aimerais énormément avoir votre point de vue des choses dans les commentaires.) Tout ce que je veux dire par là c'est que l'important est de s'unifier (kit à utiliser les tags pour attirer des gens) en attirant l'attention en ligne afin de faire comprendre aux contrôleurs de ce monde ce qu'on veut. 
 
 
 
Après tout, 
 
 
 
It takes nothing to join a crowd, but it takes everything to stand alone. Sometimes, we must stand alone in order to prove ourselves we still can stand, because if you stand up for a reason, be prepared to stand alone like a tree. You may fall on the ground. But fall like a seed that grows back up to fight again. 
I stand alone. Feeling your sting, I know I won't die. I stand alone because everything I believe in is fading. They say that if you can't figure out where you stand with someone, it might be time to stop standing and start walking. 
 
       
À la prochaine! (Je ne sais malheureusement pas ça sera quand, mais j'espère que ce sera éventuellement.) 
 
 
Sara Boutalib™ - Copyright 2017© - Tout droits réservés® - pas de modifications📴, pas d'utilisation commerciales📳 - Respect des droits d'auteurs🆔.